Grâce à Fance 3, on sait déjà qu’il y avait une difficulté de communication avec le médecin du bord, italien, et une représentante du Samu 83. La pratique de l’anglais de catastrophe était perfectible. Mais le plus « amusant » serait ailleurs, dans la composition du plastron: 120 jeunes dont 60 « wesh wesh » issus des quartiers Nord de Marseille, en réinsertion.De source directement impliquée, ces jeunes ont très vite compris l’usage ludique qu’ils pouvaient faire des fauteuils roulants mis à disposition pour évacuer les blessés. Les démarrages sur roues arrières ont fini par agacer. Le scénario de l’exercice ne prévoyant pas le déploiement de forces spéciales, ce sont les marins du bord qui auraient mis fin à la récréation. Une nouvelle raison pour ne pas diffuser le retour d’expérience.
Envisager le pireUne autre source, certes indirecte, est beaucoup plus nuancée: les jeunes auraient « mal compris » l’interdiction…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?