Ces repreneurs potentiels étaient: la CMA; la Compagnie maritime Antilles Guyane, « société créée par des socioprofessionnels des Antilles et de la Guyane françaises (…) »; la compagnie Viking, Le Havre; la Deutsche Afrika Linien, Hambourg; « G 7, Messine Gestion, Scorimar, Electroservices, groupe d’industriels et de financiers français conduits par MM. G. Pébereau et J.-J. Augier »; Marseille Fret; OT Africa Line; Saf Marine-CMB T et le Norvégien Wilhelmsen.Le 21 octobre 1996, le p.-d.g. de CGM, Philippe Pontet, a annonçé au comité de l’unité économique et sociale que le repreneur choisi par l’État était la CMA. Les navigants et les sédentaires métropolitains de CGM ont été en grève pendant 48 heures. En fin d’après-midi, le même jour, le ministère de l’Économie et des Finances a expliqué qu’après analyse des dossiers reçus (…), « il est apparu que la CMA proposait, pour la reprise…
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