Le port fait ses adieux au charbon

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Il faisait nuit lorsque le vraquier Interlink-Veracity a déchargé les dernières 20 000 t de combustibles destinées à la centrale électrique Enel située dans le port de Gênes. Les dernières tonnes, car c’était la dernière fois qu’un navire déchargeait du charbon à la Lanterne, le nom donné au port en raison de la grande lanterne qui guidait auparavant les navires et qui se trouve à l’entrée du site. C’était le 22 juillet. Les travaux de démantèlement de la zone devraient commencer assez rapidement, enfin selon la feuille de route, le terrain qui appartient à l’État devant être restitué. Selon les accords, d’ailleurs, le paysage devra être remis en l’état dans lequel il se trouvait en 1929 avant l’inauguration de la centrale en grande pompe par le régime fasciste. Seule la partie centrale du bâtiment échappera aux coups de marteaux-piqueurs et sera reconvertie en un espace social qui sera utilisé pour les débats politiques…
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