Un rapport présenté le 3 août par le Centre du patrimoine mondial de l’Unesco et l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) explore les différentes manières permettant d’appliquer un jour la Convention pour la protection du patrimoine mondial à des zones situées en haute mer. À ce jour, seul un État peut demander la reconnaissance d’un site national. Intitulé Patrimoine mondial en haute mer: une idée qui fait son chemin, le rapport présente cinq sites dont l’écosystème est d’une valeur universelle exceptionnelle, notion au cœur de la Convention pour la protection du patrimoine mondial. Ces sites sont: le dôme thermal du Costa Rica (Pacifique), une oasis océanique unique au monde qui sert de lieu de ponte et d’habitat à de nombreuses espèces menacées; le café des requins blancs (Pacifique), seul lieu connu de rassemblement des requins blancs dans le Pacifique Nord; la mer des Sargasses (Atlantique), qui abrite un écosystème unique organisé autour d’une…
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