Un chantier épuisant

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Il faut quitter la capitale Panama City via la célèbre panaméricaine, passer le pont des Amériques et prendre la sortie de l’école d’aéronavale et du golf pour trouver Cocoli. Au fond, tout au fond, dans un des innombrables bâtiments provisoires restés là, l’ACP me fournit gilet jaune et casque de chantier avant de monter dans un 4x4 climatisé avec vitres teintées et chauffeur devant des barrières. Vérification des badges, du véhicule, des identités: le chantier est bien gardé. Une longue piste comme en plein désert, des engins partout, des dizaines de grues, le chantier des écluses de Cocoli apparaît.Déjà 40 °C à l’ombre, et 90 % d’humidité. Les ouvriers sont recouverts de la tête aux pieds pour se protéger du soleil écrasant et de la poussière. Ils sont arrivés à cinq heures du matin, une heure avant le lever du jour, et repartiront à 17h, peut-être 18h. Mais déjà c’est mieux, le chantier s’arrête la…
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