« Notre route maritime reste la moins chère et la plus courte »

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L’homme à la tête de la vice-présidence exécutive de la planification et de développement des affaires pour l’Autorité du canal de Panama (ACP) est arrivé en 2002. L’ACP est alors indépendante depuis seulement deux ans, depuis le départ des États-Unis, gestionnaires jusque-là. Son bureau est au siège de l’administration de l’ACP, un imposant bâtiment posé sur une colline à la sortie de la frénétique capitale Panama City et qui domine le très symbolique quartier des Américains, agrémenté de hauts palmiers et de maisons avec jardins, beaucoup plus « chic » que le reste du pays. C’est là que je le rencontre, autour d’une immense table de réunion, entre la photo de sa famille en tenue de soirée posée dans un cadre et un mur recouvert d’un planisphère géant. Quand l’homme est assis à son bureau, il est face au monde entier.Pour me parler des prix faramineux des péages, Oscar Bazan rappelle « un petit peu…
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