Sous réserve de l’accord des actionnaires d’Hapag-Lloyd, cela devrait clore de façon heureuse (au moins pour TUI) les négociations annoncées le 21 avril par le mensuel allemand Manager Magazin. Le même jour, Hapag-Lloyd a été plus ou moins contraint de réagir en précisant que si une fusion devait aboutir, la répartition du capital se ferait sur la base de 72 % pour la compagne allemande et 28 % pour UASC, principalement détenu par le Qatar. Même après la reprise de la division conteneurs de CSAV, Hapag-Lloyd n’avait toujours pas la taille critique pour survivre dans l’environnement économique actuel, a expliqué Klaus Michael Kühne, 3e actionnaire d’Hapag-Lloyd.
Hapag-Lloyd, 6e transporteur mondialSelon le classement d’Alphaliner du 29 juin, Hapag-Lloyd est le 6e transporteur mondial avec une capacité de 929 230 EVP, soit 4,5 % de l’offre mondiale. Et UASC le 11e, avec 541 146 EVP (2,6 %). Ensemble, ils talonneront Cosco (4e avec 1,57 MEVP, 7,6 % de l’offre mondiale),…
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