L’avion restera piloté en 2050

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La très haute fiabilité du transport aérien de passagers a, sans surprise, été rappelée. Il n’empêche pas moins qu’avoir de temps à autre de 200 à 300 morts en un seul accident, par nature fortement médiatisé, pose problè me, d’autant que le secteur s’attend à une croissance continue de la demande et donc à une augmentation de la densité du trafic aux alentours des grands aéroports dont les capacités d’extension sont souvent très limitées. Or les phases de vol les plus accidentogènes sont justement celles qui sont proches d’un aéro port: décollage, montée en altitude, approche et atterrissage. En phase de croisière, donc sur les longs courriers, le pilote automatique est branché, le risque étant au plus bas. Ce sujet avait été abordé en 2012. L’Académie de l’air et de l’espace (AEE) l’a repris les 1er et 2 juin, en proposant une feuille de route devant mener à une plus grande sécurité, donc…
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