Ce complexe industriel devrait, sur la base de nouvelles technologies, notamment la regazéification, traiter 3,5 Mt de déchets plastiques pour produire chaque année 1,23 Mt d’urée pour l’agriculture et l’industrie chimique. Outre un trafic maritime de 5 Mt par an, il y aurait de l’emploi pour 900 personnes. Les négociations en vue d’une concrétisation se sont avérées laborieuses, d’autant plus que l’aspect du financement pêche par un manque de clarté. C’est la raison pour laquelle la direction du port s’est adressée à un consultant spécialisé, chargé d’examiner l’aspect financier comme l’impact sur l’environnement des technologies envisagées. En fonction du résultat de ladite enquête, le port décidera si ce projet peut être réalisé. Toutefois, il n’est plus question d’y consacrer les 150 ha que borde un quai de 2 140 m au bassin Delwaide.
Des appels d’offres pour plusieurs sitesL’autorité portuaire…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?