La contre-façon portuaire

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La contre-façon est estimé, selon un rapport de l’OCDE, rendu public le 18 avril, à 500 Md$ par an. Une facture élevée pour un véritable marché parallèle. Dans ce rapport, l’organisation internationale constate que les marques françaises, italiennes et américaines sont les plus contrefaites. Dans le même temps, au Nigéria, Mallam Habib Abdullahi, directeur général de l’Autorité portuaire nigérianne, a qualifié de contrebandiers les opérateurs qui préfèrent utiliser le port de Cotonou au lieu de passer par ceux du Nigéria. Leur objectif, continue le directeur général, est d’éviter des taxes et droits que le port du Bénin ne perçoit pas. S’il fallait qualifier de contrebandiers ou de contrefacteurs, les opérateurs qui préfèrent utiliser les ports des pays voisins pour importer ou exporter leurs marchandises en France, les douanes françaises ne manqueraient pas de travail. Tout au plus, nous pourrions les qualifier de « contrebandiers…
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