Avarie commune, une pratique en voie de disparition

Article réservé aux abonnés


Son confrère bordelais ayant posé sac à terre, Pierre Albertini est désormais le seul en France à exercer la fonction d’expert répartiteur des avaries communes, contre 15 experts recensés il y a une trentaine d’années. Un métier méconnu, ingrat et guère populaire puisqu’il consiste à solliciter des garanties financières auprès des chargeurs dont le fret était embarqué sur un navire déclaré en avarie commune par le commandant et son armateur. « C’est un sale boulot », lâche-t-il devant des juristes marseillais réunis le 14 mars à Marseille lors d’une conférence organisée par l’Institut méditerranéen des transports maritimes.Avocate au cabinet H. Mc Lean & F. Le Borgne, Helen Mc Lean illustre l’usage de cette procédure avec l’affaire de l’incendie à bord du MOL-Renaissance. « La marchandise subissant l’inondation des cales d’un navire dans le cadre de la lutte contre un incendie est déclarée…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Politique & réglementation

Règlementation

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15