Le développement portuaire africain passe par une coopération régionale

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C’est à bord du Rhapsody, navire de GNV, qui a relié Dakhla à Casablanca, que s’est déroulée la session plénière du Club des ports du Crans Montana Forum le 20 mars sur l’économie portuaire en Afrique. « La faiblesse de la connectivité de nos ports se reporte sur la capacité des pays africains à participer au commerce international », a commencé par déclarer Adamou Saley Abdourahamane, secrétaire général de l’Union des conseils des chargeurs africains.
Trois défisUn port doit relever trois défis, a expliqué Arno Loland, président d’Arlo Maritime. Il s’agit de la desserte de la zone de chalandise, le meilleur équilibre possible entre les importations et les exportations, et des coûts d’escale abordables. Pour répondre à ces trois défis, chaque pays doit analyser sa position dans un paysage équilibré. « Rien ne sert de disposer d’éléphants si vous n’avez pas de gazelles », a continué…
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