La Chine achète trente Valemax

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Cette annonce sonne comme un nouveau rebondissement dans la saga Valemax tissée entre le Brésil et l’empire du Milieu. Ces vraquiers, d’une capacité de 400 000 t, ont été introduits sur le marché en 2011 par la compagnie minière brésilienne Vale. L’objectif: rendre plus compétitive son offre de minerai de fer sur le marché chinois, face à la concurrence de BHP Billiton et Rio Tinto, dont l’essentiel des cargaisons de minerai provient d’Australie. À l’époque, le groupe brésilien avait pour ambition de construire une soixantaine de ces gigantesques vraquiers. Seuls 18 ont finalement vu le jour, Pékin bloquant notamment leur accès aux ports chinois pour de prétendues raisons de sécurité. Ces navires avaient en effet subi plusieurs incidents dès leurs premières escales, mais la raison officieuse relèverait plutôt du lobbying des armateurs chinois. Début 2015, l’interdiction a été levée, et les exemplaires construits ont été vendus ou loués…
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