L'autorité portuaire est dans l'attente du verdict

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«On est tombé d'accord sur la création d'une SAS dans laquelle le port serait partie prenant. C'est un scénario que nous souhaitions. Il n'y avait de toute façon pas d'autres alternatives pour appliquer la loi, les opérateurs étant impécunieux », témoigne Jean-Yves Sanguinet, représentant CGT au port de Bordeaux. Signé le 2 juillet, un protocole d'accord pour la reprise des outillages et du personnel manutentionnaire a ainsi vu le jour sans trop de heurt entre les opérateurs bordelais Sea Invest et Balguerie, les syndicats et le Grand Port Maritime de Bordeaux. Tous ont donné leur feu vert pour la création d'une SAS dont le capital serait détenu à hauteur de 65 % par Sea Invest, 15 % par Balguerie et 20 % par le GPMB qui représenterait de fait une minorité de blocage. La reprise de l'outillage sur les sites de Bassens aval, Bassens amont et le Verdon concernerait 12 grues de forts tonnages (sur les 16 existantes), une installation d'un transport en continu sur Bassens amont et plusieurs trémies installées sur le terminal de Bassens aval. Seul point d'interrogation et de crainte pour le GPMB : la valeur de portiques situés au Verdon ; des défaillances sur les avants-becs ayant été…
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