Une évaluation des risques de pollution

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Le 21 mars, le président Parlos interroge de Jean-Luc Lejeune, de permanence au Cross Etel, ce jour-là: "Quand vous apprenez à 21 heures, par le commandant du port de Saint-Nazaire, que l’Erika a des fuites, n’auriez-vous pas dû joindre le navire pour un complément d’information?" Réponse: "L’état de l’Erika paraissait moins urgent que les autres opérations que nous traitions." M. Cheng, commandant du port de Saint-Nazaire avait averti le Cross Etel que si l’Erika perdait du fuel, il ne disposait pas à Saint-Nazaire de barrage antipollution.En début d’audience, le président Parlos essaie de comprendre pourquoi ni le Cross Etel ni le COM de Brest, lorsqu’ils apprennent que l’Erika a des fuites, ne cherchent à joindre directement le cdt Mathur.Le commandant Geais, du COM de Brest, répond qu’en joignant l’Erika, il aurait eu comme information qu’il fait route vers Donges avec des fissures colmatées. Il n’était pas question de dégarnir le dispositif de surveillance.Pour l’amiral de Monval,…
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