La mort de Pierre Terrin, à la veille de son 83e anniversaire, clôt définitivement un des glorieux chapitre de l’histoire industrielle de Marseille. Tour à tour président du PAM, de l’Union patronale, de la CCI, il a associé son nom à l’industrie navale. La SPAT (Société provençale des ateliers Terrin) est parvenu, à la fin des années 60, à compter plus de 4 000 salariés répartis entre les formes de réparation marseillaise et le chantier de construction de la Ciotat.
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