Les majors pétrolières condamnées aux promesses vertes

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En promettant la « neutralité carbone » d’ici à 2050, la Britannique BP, qui émet 415 Mt de CO2 par an, a inévitablement attiré la lumière médiatique et sans doute effrayé ses actionnaires, qui ne pourront pas non plus se consoler de dividendes déprimés. C’est ainsi que l’Irlandais Bernard Looney a théâtralisé son entrée le 12 février à la tête de l’une des trois « super majors » pétrolières européennes (avec Shell et Total). Tout comme son successeur Bob Dudley avait mis en scène sa sortie quelques semaines auparavant. Le nom de celuic-i reste accroché à Deepwater Horizon, la plateforme pétrolière dans le golfe du Mexique qui a explosé le 20 avril 2010 engendrant un désastre écologique (4,9 millions de barils déversés) et coûté à la société 70 Md$, désastre pour lequel elle continue de payer (2,4 Md$ en 2019 et un peu moins d’un…
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