La Guinée reste une zone de navigation dangereuse

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Avec 78 incidents signalés au premier semestre 2019, contre 107 au premier semestre 2018, c’est une baisse générale du nombre d’actes de piraterie que note le Centre d’information sur la piraterie (IMB PRC). Cet organisme, basé à Kuala Lumpur et qui dépend du Bureau maritime international (IMB) de la Chambre de commerce internationale, enregistre tous les incidents qui lui sont signalés.En l’occurrence, il fait part de 57 navires abordés sur la période considérée, soit 73 % des attaques, mais aussi neuf tentatives d’attaques et neuf navires visés par des tirs. Sur l’ensemble, les tankers concentrent les « intérêts » des pirates (40 % des cibles), devant les vraquiers (26 %).Les abordages ont souvent pour objet la prise d’otage ou le kidnapping, avec cette différence que les marins sont retenus à leur bord dans le premier cas, et enlevés pour être détenus par les pirates à terre ou à bord de leur propre bateau dans le but d’obtenir une rançon dans le…
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