D’ici 2050, le transport maritime devra avoir soldé son vieux contentieux avec l’environnement en tant que pollueur responsable de 2,5 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Entre temps, une terrible mécanique de marché à construire de façon à rendre les émissions de carbone suffisamment coûteuses pour déclencher des comportements vertueux. D’une belle complexité.
Il n’y plus qu’une durée de vie de navire qui sépare la date d’aujourd’hui à l’échéance définitive de 2050, date à laquelle le transport maritime devra avoir soldé son vieux contentieux avec l’environnement en tant que pollueur responsable de 2,5 à 3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre (940 Mt de CO2 par an) pour 80 % des marchandises mondiales transportées. Autant dire que le secteur n’a pas d’autre choix... que de choisir dès à présent le mode de propulsion qui lui permettra d’être dans les clous des exigences climatiques…
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