L’annonce du départ a fait l’effet d’une bombe sur la rade de Toulon. En effet, c’est toute une économie liée à ces escales qui s’effondre et près 200 emplois menacés.
En mai dernier, une première annonce avait été mal vécue par le port varois. Après des années de bataille pour réhabiliter une ligne ferroviaire à Brégaillon, au moment où les travaux touchaient à leur fin, DFDS/U.N. Ro-Ro décidait de retirer une de ses trois escales hebdomadaires au profit de Sète. En juillet, DFDS démarrait avec la reprise d’Alternativ Transport des rotations entre le port d’Occitanie et la Turquie. Trois mois seulement après le début de cette ligne, la déclaration ce 30 septembre de Lars Hoffman, vice-président de DFDS chargé des activités en méditerranée, a littéralement « assommé la communauté portuaire des Ports de la Rade de Toulon », précise la CCI du Var au lendemain…
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