Joël Le Coq : Paradoxalement, elle est bonne. En 2008, nous avions financé beaucoup de formations et nous trouvions en situation de surengagement. Nous avons donc revu, pour 2009, les conditions de financement dans un sens restrictif. Nous pensions avoir besoin de deux ans pour rétablir un niveau correct. Or, la crise est arrivée. Début 2009, les demandes émanant du transport routier de marchandises ont chuté de quelque 60%. Nous avons donc rempli notre objectif de rétablissement en un an. Bien que positif pour notre équilibre financier, ce ralentissement contrarie toutefois notre vocation à financer un maximum de formations. Notre souci, désormais, est de savoir quel niveau d’engagement nous pouvons escompter en 2010.
En mars, l'OPCA a lancé des mesures d'urgence, dotées d'un…
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