Le fluvial risque de manquer d'entreprises et de bateaux

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La voie d'eau aurait besoin de 480 unités neuves pour la France d'ici à 2020, d'après l'étude d'Eurotrans.

Le premier colloque de l’association Entreprendre pour le fluvial (EPF) le 5 novembre et une étude réalisée pour l’occasion par le cabinet Eurotrans pointent les faiblesses de la voie d'eau. Et le "chemin" qui lui reste à parcourir.
Il y a, d'un côté, des déclarations plutôt positives. "Le fluvial est en croissance même s’il connaît un ralentissement conjoncturel en 2008-2009. De nouveaux marchés s’offrent à lui avec les conteneurs, les produits à recycler et toutes les promesses de la logistique urbaine. En 2015, la mise en service du canal à grand gabarit Seine-Nord Europe (SNE) constituera un nouveau saut pour le mode en France", a souligné Thierry Duclaux, directeur général de Voies navigables de France (VNF).
Mais d’un autre côté, "le secteur fluvial souffre d’une grande méconnaissance de ses atouts. Le financement de Seine-Nord n’est toujours pas finalisé. Ce canal ne se fera que s’il démontre son utilité au-delà des prévisions très élevées de trafics", a avancé Michel Rocard, ancien maire de Conflans-Sainte-Honorine et fondateur, en 1991, de VNF alors qu’il était Premier ministre. "Intégrer le monde fluvial est très difficile, surtout quand on est un adulte en reconversion…
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