Le ministère de l’Intérieur a annoncé le 11 novembre l’interpellation d’une dizaine de militants d'extrême gauche dans le cadre des enquêtes sur les actes de sabotage qui ont touché les installations de la SNCF ces dernières semaines.
Confondus par des traces d'ADN.
Dix personnes appartenant à l'ultra-gauche ont été arrêtées mardi 11 novembre en liaison avec les actes de sabotage commis contre des caténaires de la SNCF, annonce la ministre française de l'Intérieur. Michèle Alliot-Marie confirme la thèse d'une action concertée de sabotage après une série d'actes de malveillance sur le réseau ferré ces dernières semaines, qu'elle a attribués à une mouvance "anarcho-autonome" déjà placée sous surveillance.Les 10 personnes interpellées et placées en garde à vue, essentiellement des jeunes selon le ministère de l'Intérieur, ont été arrêtées en Corrèze, à Rouen, dans la région parisienne et dans la Meuse. Des perquisitions sont toujours en cours. L'opération a mobilisé 150 policiers, 50 membres de la Direction centrale du renseignement intérieur, 60 fonctionnaires de la sous-direction antiterroriste, un escadron de la gendarmerie et une brigade cynophile.Fers à béton
Cinq actes de malveillance…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?
