STRATÉGIE. Le SaaS, souvent avantageux, mais à manier avec prudence

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SaaS, ou Software as a Service : le mode SaaS revient à proposer un outil standardisé, peu ou prou identique d’un client à l’autre, avec une mutualisation des données au niveau des serveurs.

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Les avantages offerts par ce nouveau mode d’exploitation en ligne des logiciels semblent faire du SaaS un passage obligé. Mais en y regardant de plus près, toutes les fonctions de la supply chain ne s’y prêtent pas... La prudence doit tempérer l’engouement.
Son succès est indéniable. Le chiffre d’affaires du "SaaS", ou Software as a Service, a progressé de 28% en 2014 sur le marché de l’Hexagone. Chez les éditeurs français, il représente désormais 17% de leur activité. Et en 2015, il devrait représenter 1,5 milliard d’euros, tous éditeurs confondus, selon le Syntec Numérique.
Le SaaS "se définit selon deux aspects : la facturation et la technologie utilisée", rappelle Philippe Guilhaumou, dirigeant et fondateur du conseil BestFreeChoice. "En SaaS, le client ne possède plus le logiciel mais le loue et paie un abonnement à hauteur de sa consommation. Il ne faut pas le confondre avec une location où le prix serait le même tous les mois, quel que soit le nombre de flux traités. Dans ce cas, il y a des chances que l’outil proposé soit en mode ASP, ou Assistance Service Provider."
Ce mode de "consommation" présente certes des avantages, mais aussi des limites à ne pas ignorer. Quelles…
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