"Ubérisation" : le B to B est-il concerné ?

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Philippe Lemoine, vice-président du conseil de surveillance de GS1 France.

Crédit photo © Éric Durand
Interviewé par Logistiques Magazine, Philippe Lemoine, vice-président du conseil de surveillance de GS1 France, fait le point sur ce que l’on appelle aujourd’hui l’économie collaborative et sur sa place dans les relations B to B.
Logistiques Magazine : Le thème de l’université d’été de GS1 France, qui s’est tenue à Paris début septembre, a exploré les possibilités d’extension de l’économie collaborative aux activités B to B. De quelle économie collaborative parle-t-on ?
Philippe Lemoine : Dans le rapport que j’avais remis il y a deux ans au gouvernement sur la transformation de l’économie, j’ai fait débuter l’ère numérique à la fin des années 2000. Avec un renversement dans le jeu des acteurs et un rôle croissant tenu par les personnes elles-mêmes, auxquelles les nouvelles technologies de type Smartphones ou tablettes permettent une appropriation directe d’un certain nombre d’outils. Et ces personnes ne se contentent pas de s’équiper, elles innovent.
En effet, ce n’est pas M. Uber qui invente l’autopartage ni M. Airbnb qui invente la location de courte durée d’appartements : ce sont les personnes qui imaginent de nouveaux usages et des entreprises qui les captent pour créer de…
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