Récemment nommé à la tête du Club Déméter, Michel Corso veut éviter que les sujets ne s’essoufflent. Le nouveau président souligne aussi l’ouverture du Club à d’autres questions que celles de l’environnement comme la logistique urbaine ou l’innovation.
Logistiques Magazine : Vous avez pris la présidence du Club Déméter en décembre 2015. Comment définiriez-vous la dimension environnementale de la logistique et quelle est votre feuille de route au sein du Club ?Michel Corso : Je n’éluderai pas votre question mais je tiens d’abord à dire qu’il ne s’agit pas d’un putsch (!) et qu’on est venu vers moi pour me proposer la présidence. Cela m’a fait très plaisir. On m’a sans doute approché parce que je fais partie du Club depuis ses tout débuts en tant que responsable du département ECR puis directeur logistique de Bel, et que je m’y suis pas mal impliqué, en associant d’ailleurs parfois certains de mes collaborateurs sur de nombreux sujets touchant par exemple au rail-route ou au gaspillage alimentaire.
Mais pour revenir au rôle de Déméter en matière de logistique et d’environnement, il faut bien comprendre que le champ de réflexion et d’action du Club s’est aujourd’hui élargi. En…
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