En 2015, Lidl France a confié sa reverse logistique à deux prestataires et automatisé la gestion de ses retours. Objectifs : une meilleure fiabilité de la traçabilité et une optimisation des coûts qui y sont liés.
Logistiques Magazine : En 2015, vous avez mis en place une nouvelle organisation quant à votre reverse logistique. Comment cela se passe-t-il désormais ?Emmanuel Solofrizzo : Au sein de Lidl France, la reverse logistique concerne la gestion des produits non vendus dans nos magasins. Il faut savoir que nous lançons chaque semaine deux campagnes publicitaires de nouveaux produits… Cela signifie qu’il nous faut régulièrement faire de la place dans nos magasins pour la mise en place des nouveautés.Auparavant, nous gérions cette reverse sur les 25 entrepôts régionaux que nous administrons en propre. En 2015, pour automatiser cette reverse avec un haut niveau de traçabilité, nous l’avons confiée à deux prestataires : au nord à FM Logistic, sur un site de 24 000 m2, qui reçoit une soixantaine de camions par semaine, soit environ 1 800 palettes, correspondant à 740 de nos magasins ; au sud, à GT Logistics, sur un site de 30 000 m2, pour les mêmes quantités de produits et magasins…
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