Rien de tel que le Lean pour pointer du doigt des anomalies grâce aux remontées terrain. Le leader mondial de la raquette de tennis Babolat a ainsi divisé par deux les rejets intempestifs de colis dans son entrepôt.
La remontée d’informations par les équipes travaillant en entrepôt s’avèrent très souvent payantes. C’est un peu le principe de la démarche Lean qui permet aux opérateurs de pointer des anomalies que l’encadrement a parfois du mal à repérer.Ainsi, dans l’entrepôt de Corbas (Rhône) de Babolat, n° 1 mondial de la raquette de tennis, plus d’un colis sur dix était rejeté du circuit en fin de préparation de commandes au niveau du contrôle pondéral… Un taux très élevé que l’on ne pouvait, en outre, imputer à la qualité des préparations lesquelles affichaient un taux d’erreurs de 0,01 % !
Des contrôles chronophages
Mais ce qui a déclenché l’analyse et ensuite la résorption de cette anomalie, c’est le constat dressé par l’équipe sur poste dans le cadre du Lean que le leader a engagé depuis deux ans. À savoir que les vérifications des contenus des colis étaient non seulement la plupart du temps inutiles mais aussi très chronophages.
Le système de pesée lui-même n’etait…
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