Des opérations de blocage ont lieu un peu partout en France depuis le 15 mars au soir, à l'appel des syndicats, qui revendiquent une reprise des négociations salariales. Le ministre des Transports demande lui aussi une réunion "dans les meilleurs délais".
Opérations escargots, blocages de sites logistiques : comme prévu, les organisations syndicales du transport routier (CFDT, CGT, FO, CFTC, CFE-CGC) ont lancé de nouvelles actions pour faire entendre leurs revendications. Les actions ont démarré dans la nuit du 15 au 16 mars et se sont poursuivies dans la journée de lundi.Avec cette nouvelle vague de protestation, l’intersyndicale veut obtenir la reprise des négociations salariales, interrompues en février sur un constat d’échec. Les syndicats de salariés estiment avoir fait un pas en transmettant de nouvelles propositions un peu à la baisse. Ils ont notamment renoncé au plafond minimum de 10 euros bruts de l’heure pour les plus bas coefficients des grilles conventionnelles.
Des relations sociales "pénalisantes" pour le secteur
Le secrétaire d'État aux Transports souhaite lui aussi une reprise des négociations. Un communiqué publié le 16 mars en début d'après-midi indique qu'Alain…
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