Transport léger : les mises au point du SNTL

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Les principaux responsables du SNTL : le président Stéphane Choquet (à dr.) et Bruno Neveu, Arnaud Touffet, Cathy Blanc, Fabienne Fauny, Philippe Tellini et Frédéric Peyre.

Crédit photo © Benoit Barbedette
Le Syndicat national du transport léger a centré son assemblée générale du 24 janvier sur la clause carburant, le refus du chronotachygraphe, le cabotage et la concurrence déloyale... Des thèmes proches de ceux du transport de +3,5 t.
Les années se suivent et les revendications aussi... Lors de son AG, le 24 janvier 2015 à Paris, le Syndicat national du transport léger (SNTL) s'est centré sur des thèmes récurrents et proches des préoccupation du transport de +3,5t, conformes à la compétition entre les deux univers qu’exploitent certains chargeurs ou donneurs d’ordres sur la longue distance.
Concurrence déloyale et chronotachygraphe
"Nous avons à cœur d’utiliser des recours contre les auteurs de concurrence déloyale et d’exercice illégal de la profession", rappelle Stéphane Choquet, le président depuis 2008. Qui dénonce les "pratiques abusives de certains clients et donneurs d’ordre qui s’affranchissent des règles et lois en vigueur" (non-respect du règlement à 30 jours, absence de la surcharge carburant, ruptures abusives…).
Mais la mise au clair de pratiques décriées et bien connues ne saurait passer, selon le SNTL, par l’emploi du chronotachygraphe, jugé "franco-français" et…
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