58e congrès de l’Unostra : le cabotage cristallise la colère

Article réservé aux abonnés

Image

Roland Bacou, président national de l’Unostra, aimerait que "les contrôles chez les chargeurs et les destinataires soient vraiment efficaces".

Crédit photo © DR
À 60 ans, l’Unostra a tenu le 15 octobre son 58e congrès à Clermont-Ferrand sous le signe de l’union avec la FNTR. S’efforçant de faire entendre la voix des TPE sur l’actualité. Sujets brûlants : l’Europe, le cabotage et le détachement de salariés.
Soixante ans après sa création, dix ans après les dissensions et scissions et six ans après ses difficultés financières, l’Unostra a tenu le 15 octobre son 58e congrès.
Dans le giron de la FNTR, à laquelle elle a adhéré en 2009, l’Union est "toujours en redressement financier", mais, ajoute son président national Roland Bacou, "elle est toujours là. Nous représentons les TPE, le terrain. L’Unostra paie certes une cotisation à la FNTR et utilise certains moyens pour le juridique ou le technique. Mais notre redressement, aujourd’hui, repose sur les cotisations de nos 1 000 adhérents et sur l’aide de partenaires. En 2017, nous comptons maintenir notre présence dans les Dreal ou Dirrecte, des instances capitales pour les TPE".
L’UE, “Far West” de la libre concurrence ?
Si, ce samedi, l’assemblée est resserrée à Cournon-d’Auvergne, et si de rares voix – anonymes – ironisent sur l’indépendance de l’Unostra, le programme décline scrupuleusement…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15