La visite de l'inspecteur du travail

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Le jour où l'inspecteur du travail frappe à la porte, gare aux récalcitrants. Redouté voire parfois décrié, il sait que l'entreprise « idéale » est un leurre et tente, par ses observations, ses mises en garde et ses conseils, de faire respecter aux mieux le code du travail. Conseils pour rester sur ses gardes mais surtout dans les clous.
Dans la ligne de mire de l'inspecteur : le respect du code du travail. Conditions de travail des salariés, hygiène, respect des normes de sécurité, évaluation des risques professionnels, affichage, tout y passe ou presque. En réalité, le statut du fonctionnaire déplacé par l'inspection du travail dépend des effectifs de l'établissement. Si la société compte moins de 50 salariés, le contrôle sera mené par un contrôleur ; au delà de 50 collaborateurs, le transporteur aura probablement affaire à un inspecteur. Attention : refuser l'entrée à un inspecteur du travail ou lui dissimuler certains documents, c'est déjà s'exposer à une amende de 3 750 € et un an d'emprisonnement pour délit d'obstacle. S'il y a récidive, la sanction peut vite atteindre 7 531 € et 2 ans d'emprisonnement. En cas d'absence du dirigeant, tout…
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