Les vracs liquides vont rester essentiels sur l’axe Méditerranée Rhône-Saône

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Les vracs liquides pèsent lourds dans les trafics de Marseille-Fos et sur l’axe Méditerranée-Rhône-Saône, où est implantée la vallée de la chimie. Et même si la « décarbonation » est une priorité, ils vont le rester à l’avenir car ils constituent toujours des matières premières essentielles.
Les chiffres. A Marseille-Fos, les vracs liquides ont atteint 45,3 millions de tonnes en 2022, soit 58 % du total de 77,3 millions de tonnes de trafic de ce grand port maritime, et loin devant les vracs solides (11,3 millions de tonnes). Les vracs liés aux énergies (GNL, produits pétroliers raffinés, GPL, pétrole brut) représentent une part écrasante (environ 90 %), ceux de la chimie tournent aux alentours de 10 %. Les terminaux dédiés aux vracs liquides, ce sont 30 postes à quai. Trois des terminaux sont privés (Kem One, LyondellBasell, Elengy) et…
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