Avec son dernier achat de 500 000 t de méthanol, Maersk pourrait être autosuffisant jusqu'à 2030

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Depuis près de deux ans, Maersk est engagé dans une course au méthanol pour sécuriser l'avitaillement de sa future flotte, dont les premières unités doivent être livrées l'année prochaine. Mais les volumes engagés par le dernier contrat signé avec Goldwind surplombent nettement les précédents.
Serait-ce en Chine, là où se produit en effet majoritairement le méthanol, que les exploitants ayant fait le choix de cette énergie pour leur future flotte devront se fournir ? Les apparences s'y prêtent. En avril dernier, en marge de la visite du chef d’État français en Chine, l'armateur marseillais CMA CGM, qui faisait partie de la délégation officielle, a signé un accord avec le groupe Cosco et le port de Shanghai pour sécuriser son avitaillement en biométhanol et e-méthanol.

Le groupe de transport maritime chinois a lui-même rejoint le club des convaincus du méthanol pour décarboner sa flotte en commandant en décembre 2022…
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