Un avenir multicombustible

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Carburants marins, combien de divisions? L’ère des carburants fossiles parvient à son terme, remerciant le bon vieil HFO, le fuel lourd, pour ses bons et loyaux services depuis le milieu du XIXe siècle. Un carburant quasi-exclusif aux qualités inégalables et sans doute inégalées encore pendant un temps. Son contenu énergétique très élevé, qui permet aux navires de parcourir une grande distance en en brûlant peu, n’a pas d’équivalent. Produit résiduel issu du raffinage du pétrole, il a pour inimitable propriété de ne pas coûter cher.Il est si populaire qu’il représentait encore, jusqu’à la réglementation de l’Organisation maritime internationale (OMI) sur le plafonnement de la teneur en soufre des carburants en 2020, 86 % des ventes à l’échelle mondiale, d’après la troisième étude réalisée sur les émissions de gaz à effet de serre par cette organisation.À l’aube d’un nouveau régime énergétique fondé sur des énergies en complète rupture, le concept de carburant unique a fait long feu. Pour comprendre comment les dirigeants du secteur envisageaient les carburants de demain, le Global Center for Maritime Decarbonization, le Global Maritime Forum et le Maersk Mc-Kinney Center for Zero Carbon…
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