Raid des chantiers navals japonais sur l’ammoniac

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Les chantiers navals japonais semblent avoir laissé à leurs homologues chinois et sud-coréens la course aux constructions de navires conventionnels, y compris les méthaniers. En revanche, ils sont en train de prendre une réelle avance dans les concepts de navires transportant ou consommant des carburants verts.
Les chantiers japonais, qui font encore partie du trio de tête de la construction navale mondiale mais sont largement distancés par les constructeurs sud-coréens et chinois, semblent avoir définitivement laissé à leurs concurrents le tout-venant. Ils regardent ailleurs. Le transport de CO2 liquéfié et l’ammoniac-carburant cristallise leurs centres d’intérêt. Ils sont en force sur la R&D et multiplient les associations industrielles et les projets dans ce sens.L’un des grands transporteurs du pays du soleil levant, NYK, qui s’est fixé un objectif de neutralité carbone d’ici 2050, entend apporter sa contribution à l’émergence de navires à l’ammoniac et à l’hydrogène. Il est à l’initiative, avec des partenaires industriels, d’un capesize et d’un très grand pétrolier (VLCC) au GNL mais qui pourront être convertis à l’ammoniac, sans surcoût…
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