Ces dernières années, un agenda environnemental, visant plusieurs de ses émissions polluantes, l’a renvoyé à sa réalité: si le shipping est le moyen de transport le moins « fauteur » de gaz à effet de serre à la tonne/km, comparativement à l’aérien et au routier, avec quelque 3 % des émissions mondiales selon l’Organisation maritime internationale (OMI), il n’en demeure pas moins un gros émetteur global.
Et il est désormais prié de se désintoxiquer du fuel lourd auquel il se « shoote » depuis des années – selon l’AIE, le transport maritime représente 5 % de la demande mondiale de produits pétroliers – et de se débarrasser d’ici une…
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