« En matière de sûreté, le texte de référence est le code ISPS sur la sûreté des navires et des installations portuaires », a indiqué Frédéric Denèfle, du Garex. Les assureurs distinguent les risques concernant le navire (assurance dite corps), les marchandises (assurance dite facultés) et les infrastructures portuaires. Celles-ci relèvent aussi du droit terrestre. Les actes de pirateries sont assimilés à des risques de guerre.Pour le cluster maritime français (CMF), en matière de sûreté, trois thèmes sont prioritaires: la contrebande d’armes, la lutte contre la piraterie et la cybercriminalité, selon Frédéric Moncany de Saint-Aignan. Des ateliers d’informations sont organisés par le CMF. Des guides de bonnes pratiques, des équipements sont disponibles pour aider les armateurs et les autorités portuaires à se protéger des risques. Avec la cybercriminalité, les navires et les sites à terre sont vulnérables au vu des échanges et des…
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