Marie-Laure Vidil, Responsable d’exploitation de Trans-Vid, voit dans les charges fiscales qui pèsent sur les PME une forme d'injustice, considérant que fournir à la population des denrées de première nécessité est un service bien mal rémunéré. La société drômoise est spécialisée dans le transport alimentaire et dans ce secteur, les nouvelles tendances pourraient être rémunératrices.
"L’activité est plutôt calme en ce début d’année. Placés sur le marché du circuit alternatif du frais, nous restons tributaires de la saison des fruits et légumes. Après le rush de décembre, le mois de février représente une période intermédiaire. Mais nous avons enregistré un ralentissement accru dû aux mouvements de grève. Le blocage des ports nous impacte aussi directement car tous les fruits et légumes provenant du bassin méditerranéen ont été déroutés au profit des ports de Gênes…
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